Les pèlerins, les grattes-ciels et la baie de Panama (Photo: Annabelle).
Je suis allée au JMJ de Panama en ayant pleins de questions sur mon avenir personnel mais aussi professionnel. J'ai vécu ma première semaine en diocèse, à fond, comme tout le monde. Profiter des familles, des activités, des paysages, apprendre un maximum sur la culture panaméenne parce que je sais que la seconde semaine j'aurai moins le temps. Je me suis beaucoup plus posée sur ma foi la seconde semaine. Pour moi c'était clair, il fallait que je commence cette seconde semaine par me confesser, je ne pourrai pas vivre pleinement mes JMJ si je ne me confesse pas. Première catéchèse, j'ai trouvé un prêtre qui m'a confessé. Et à partir de cette instant, les réponses sont venues toutes seules à moi. Des rencontres inattendues, des discussions au détour d'un couloir. Tout ne vient en claquant des doigts, Dieu m'a donné des pistes, des chemins à suivre, à moi maintenant d'y travailler et surtout de le prier pour qu'il continue à éclairer mon chemin.
Annabelle
Le « Parc du pardon », un lieu privilégié de confession (Photo : Miguel Sinclair/Jornada Mundial de Juventud Panamá 2019)